Il est 9 h 17 dans un open space. Les néons diffusent leur lumière froide, les écrans illuminent des visages concentrés, et le bourdonnement régulier des claviers se mêle aux sonneries des notifications Slack et Outlook.
Dans un coin, un manager esquisse un signe de tête rapide à un collègue avant de replonger dans un rapport urgent. Plus loin, deux collaborateurs échangent brièvement sur un projet, les yeux rivés sur leur écran, sans même se regarder.
Depuis la généralisation du télétravail et des réunions hybrides, cette scène s’est banalisée. Les conversations spontanées, celles qui faisaient naître des idées ou créaient de la complicité, ont presque disparu. Selon l’Observatoire de la Qualité de Vie au Travail, 62 % des salariés français estiment que leurs échanges informels ont diminué depuis 2020. Et cette diminution a un coût caché : la confiance s’érode, la communication se fragmente, et la dynamique collective s’essouffle.
Les entreprises, conscientes de cette dérive, cherchent à recréer du lien. Certaines misent sur des séminaires en salle, d’autres sur des activités de groupe plus originales. Mais combien parviennent vraiment à changer la donne ? La réponse tient souvent en un mot : dépaysement. Il faut rompre avec le décor habituel, sortir des codes hiérarchiques, et vivre ensemble une expérience où la réussite dépend de la coopération.
Imaginez alors un instant : votre équipe, pagaie à la main, glissant sur les eaux calmes d’un lac alpin ou au fil d’un fleuve sauvage. Les téléphones rangés dans des pochettes étanches, les regards tournés vers l’horizon, et cette sensation rare que l’on respire enfin le même air, que l’on avance ensemble. C’est ce que propose le packraft, et c’est ce que Blue Secret transforme en un outil stratégique de cohésion d’équipe.
Depuis 2020, le monde du travail a basculé. L’essor du télétravail a apporté de la flexibilité, mais aussi une fragmentation invisible. Les équipes se croisent moins, les relations se construisent plus difficilement, et les échanges informels, pourtant essentiels, sont sacrifiés au profit de réunions programmées et d’interactions écrites.
Les chiffres sont parlants : une étude du MIT Sloan Management Review révèle que les interactions sociales hors réunions ont chuté de 37 % dans les entreprises ayant adopté le travail hybride. Et chez les télétravailleurs à temps plein, ce taux grimpe encore. Résultat : moins de coordination, moins d’innovation, et un sentiment d’isolement qui s’installe.
Cette distance relationnelle a un impact direct sur la performance. Les données de Gallup montrent que les équipes très engagées enregistrent 21 % de productivité en plus et 59 % de turnover en moins. Inversement, les équipes où le lien est faible voient la communication se dégrader, les délais s’allonger, et la motivation s’éroder.
Pour restaurer ce lien, il ne suffit pas de programmer une activité “sympa” : il faut créer une situation où l’on redevient une équipe au sens plein, où la réussite est collective, et où chacun doit s’appuyer sur les autres.
Sortir du bureau est déjà un premier pas. Mais sortir dans la nature a un impact bien plus profond.
Les études scientifiques convergent : un environnement naturel réduit le stress, stimule la créativité et améliore la communication interpersonnelle. L’Université du Michigan a démontré que 20 minutes passées dans un espace vert suffisent à réduire significativement le taux de cortisol, l’hormone du stress. L’Université du Kansas a observé une hausse de 50 % de la créativité après trois jours passés dehors.
En pleine nature, les codes hiérarchiques s’effacent. On ne parle plus de “supérieur” ou de “subordonné”, mais de coéquipiers affrontant le même courant, cherchant le même passage, partageant les mêmes efforts. Les conversations reprennent leur spontanéité : on commente le paysage, on rit d’une éclaboussure, on échange des impressions. Ces moments d’authenticité, impossibles à reproduire en salle de réunion, créent un ciment durable.
Et c’est là que le packraft prend tout son sens : il n’est pas seulement un moyen de déplacement sur l’eau, c’est un cadre pour ces interactions retrouvées.
À première vue, le packraft intrigue. C’est un bateau gonflable ultra-léger : moins de 4 kg, que l’on transporte dans un sac à dos. En quelques minutes, il prend forme et devient un compagnon de navigation sur lacs, rivières ou gorges. Sa maniabilité rassure les débutants, sa stabilité encourage la confiance, et sa polyvalence permet d’adapter l’expérience à tous les niveaux.
Dans un contexte de team building, il a trois atouts majeurs :
Pagayer ensemble, c’est dialoguer sans arrêt : “Plus à gauche !”, “On ralentit !”, “Regarde là-bas !”. C’est aussi se coordonner sans mots, par le rythme, le regard, l’intuition. Ce langage nouveau soude une équipe plus sûrement qu’une journée enfermée dans une salle.
Ce qui se joue sur l’eau dépasse la simple balade. Le packraft active plusieurs leviers puissants de cohésion :
Ces mécanismes créent un “capital émotionnel” que l’équipe ramène au bureau. Les références partagées (“Tu te souviens quand… ?”) deviennent des points d’ancrage dans les relations quotidiennes.
L’expérience dépend aussi du décor, et Blue Secret choisit avec soin ses itinéraires.
Sur le Lac du Bourget, on navigue dans un écrin alpin, entre criques isolées et larges étendues d’eau, avec la possibilité de s’arrêter pour un pique-nique au soleil.
Les Lônes du Rhône offrent un tout autre rythme : ici, l’eau se faufile entre des bras morts du fleuve, dans un silence seulement troublé par le cri d’un héron.
Les Gorges du Fier impressionnent : les parois calcaires se dressent à pic, et la lumière joue sur la roche.
Le Verdon, avec ses eaux turquoise et ses falaises spectaculaires, est une carte postale grandeur nature.
Enfin, La Gacilly mêle art et nature : on pagaie en découvrant des installations artistiques en pleine verdure.
Chaque lieu raconte sa propre histoire et propose une intensité différente, mais tous partagent une qualité essentielle : ils coupent net avec le quotidien.
Blue Secret ne se contente pas de fournir des bateaux. L’équipe prépare chaque sortie comme une expérience sur-mesure :
Cet accompagnement garantit que l’expérience ne soit pas seulement agréable, mais aussi structurante pour l’équipe.
Une sortie en packraft ne se termine pas à la sortie de l’eau. Le retour au bureau est l’occasion de capitaliser sur ce qui a été vécu :
Certaines entreprises prolongent même l’effet en programmant des sorties régulières, créant ainsi un rendez-vous attendu qui entretient la dynamique.
Quitter le bureau pour glisser sur l’eau, c’est bien plus qu’une parenthèse agréable. C’est un investissement stratégique dans le capital humain de l’entreprise. Sur un packraft, chacun compte sur les autres, chacun apporte sa contribution, et chacun découvre ses collègues autrement.
Avec Blue Secret, le packraft devient un levier de cohésion, un révélateur de talents et un catalyseur de confiance. L’eau devient le miroir d’une équipe qui apprend à avancer ensemble, malgré les courants, et à savourer chaque étape du voyage.